Réconciliation entre une mère et son fils

Après être rentré de la Colonie Romaine où j'avais croisé Thalia , je mettais diriger vers le plage et mettais assis sur un rocher et n'arrêtais pas de penser à toute les choses que j'avais dit à ma mère . Même Nina n'arrivais pas à calmer mon chagrin et pourtant elle essayais tout . Je mis mon visage dans mes mains et dit :



-Pourquoi j'ai dit ça ?



Je mettais mis ma mère à dos et je m'en voulais horriblement . Je regardais ensuite le couteau que j'avais avec moi et dit en soupirant :



-La mort doit pas être si mal

Après la discutions que j’avais eu avec William, les remords me guettaient. Disputer mon fils n’était la chose que j’appréciais le plus si ce n’est pas du tout….
Vexée par ce qu’il avait pus me dire et vis vers ça, je décidais de le localiser pour m’excuser de certaine chose et lui expliquer plus calmement pourquoi j’avais eu cette réaction.
Quand je l’eue localisé, je me transportai pour aller à sa rencontre à la colonie Romaine.
Il tenait un couteau et se dit que la morte était sans doute la meilleure solution, ce qui me choqua. Sans faire un bruit j’avançais dans son dos. Puis quand je fus quelque mètres de lui j’engageai le dialogue.

-C’est donc ce que tu choisis ? La mort ? Personnellement je ne pense pas que ça serait la meilleure solution. De 1 tu manqueras à ta famille. De 2 ceux qui sont contre les demi dieux, auront un argument de plus pour les interdire. De 3 tu te feras passer pour un lâche. Et pour finir ta mère t’empêcheras de faire la plus grosse bêtise qu’il ne soit

Ma mère me dit que c'était donc ça que j'avais choisie comme solution , la mort ? Je la regarda et soupira , j'avais pas envie de me disputer avec elle . Ma mère me dit que ce n'était pas la solution car je manquerais à ma famille , ceux qui sont contre les demi-dieux auront un argument et que j'aurai l'air d'un lâche à ce mot , je lâcha le couteau et dit :



-Désolé maman , désolé pour tout ceux que je t'ai dit , je ....



Je me mit à pleurer et dit :



-Tout est sortie tout seul sur le coup de la colère , je n'ai pas voulue ça , tu peux pas savoir combien , je m'en veux .



Je continuais de pleurer

Il s’excusa de tout les propos plus que vexant qu’il eut à mon encontre puis ce mis à pleurer. Je soupirai tout en m’avançai un peu plus de lui. Arrivé à ses cotés je m’asseyais à ses cotés et le pris dans mes bras. Mon menton posé contre sa tête et ma main dans ses cheveux je le berçais comme quand il n’était qu’alors un enfant.

-Tu tiens bien ça de ton père. L’impulsivité…

Ma mère me berça et me dit que je tenais de mon père pour être impulsive , je sourit mais quelque larmes coulais encore et je resta comme ça , j'était bien sa me rappellais mon enfance quand ma mère venais me rendre visite de temps en temps mais tu jour au lendemain elle avais arrêter ces visite et je mettais toujours demander si c'était de ma faute :



-Maman , j'ai une question



Je la regarda et lui demanda :



-Pourquoi as-tu arrêter des visites du jour au lendemain quand j'était petit ? J'ai toujours crut que c'était de ma faute

Il me demanda pourquoi j’avais arrêté de venir lui rendre visite puis me regarda longuement. C’était une question que j’avais essayé d’éviter pendant tant de temps. Mais je savais qu’un jour il me demanderait le pourquoi du comment. Je m’y étais préparé.
Je remis une de ses mèches rebelles en place et le regardai tendrement.

-Tu n’y ai pour rien… C’est une réforme qui est passé il n’y a pas tellement longtemps de cela. Cette réforme consistait à couper les ponts avec tous les demi-dieux que nous avions créés pour empêcher que cela nous influence dans notre rôle de Dieux. Mais, je t’ai toujours surveillé et protégé d’en haut

Ma mère me dit que je n'y était pour rien car c'était une réforme qui était passé , il n'y a pas tellement longtemps de celle-là car cet réforme consitais à couper les ponts avec tout les demi-dieux qu'ils avaient créer pour empêcher que sa influence sur leur rôle de Dieux mais qu'elle m'avais toujours surveiller et protéger d'en haut , je sourit et dit :



-Cet lois à été installé a cause de Poséidon quand il eu Percy Jackson et à cause de ça sa nous as privé nous les autres demi-dieux de nos parents .



Je sourit en me rappellant d'un truc , un jour avec ma belle-mère et ont mon père ont devaient faire un gâteau et sa c'était terminé à bataille de farine entre d'un côté ma belle-mère et mon père et de l'autre moi tout seul et j'avais gagné en décorant la cuisine en blanc . Je ris et je sentais le regards de ma mère et dit :



-Si tu me surveillais , tu as vu la bataille ou j'ai redécorer la cuisine de papa en tout cas ont n'a bien rigoler là fois là . Qu'est-ce que j'aimerais bien revenir à ces moment là

Je ris quand il me rappela sa fameuse bataille de farine qui s’était passé lorsqu’il était plus jeune. A l’époque j’en avais rit à en pleurer, mais j’éprouvais autant de jalousie que d’amusement. Je regrettais de ne pas avoir partagé de moment ainsi avec mon fils. Cette réforme m’avait privé de tout ce que je rêvais le plus au monde : la maternité.

-Oui en effet j’en ai bien rit… mais ça m’a tout autant brisé le cœur….

Ma mère me dit que en effet , elle avais bien rit même si sa lui avais briser le coeur , je la regarda car cet réforme lui avais privé de plein de chose surtout que j'avais été le seule qu'elle eu normalement donc pour elle sa devais encore plus dur . Je sourit à ma mère et dit :



-Il vaudrais en toucher deux mots à Zeus pour qu'il annule cette réforme stupide , je suis sûr qu'il comprendras .



Je sourit et dit :



-Je le déteste un peu , il m'a privé de ma mère alors que j'aurai préférer l'avoir près de moi même si c'était pour juste une journée sa m'aurai fais du bien de te revoir de temps en temps.



Je restais toujours contre ma mère et dit :



-Je sait que tu ai déçus par ce que j'ai fais mais je suis heureux maman

Il se rebella contre la nouvelle réforme qui consistait à ne pas descendre sur terre pour entretenir des liens avec nos enfants. Mais on ne pouvait rien n’y faire, une loi était une loi même s’il elle ne plaisait pas il fallait l’adopter.

-Ne déteste pas ton grand-père. Il a pensait à son peuple divin et mortel.

Il crut que je fus déçus car il a été heureux dans sa jeunesses et qu’il voulait me voir ne serait-ce qu’une fois. Je n’en doutais pas, moi aussi j’avais eu le besoin de le serrer dans mes bras, mais il n’en fut rien malheureusement.

-Je ne suis pas déçue car tu as été heureux. Au contraire c’est ce qui ravivait la flamme en moi. Même si je ne pouvais pas te serrer dans mes bras, j’ai toujours fait mon maximum pour toi-même quand tu ne t’en doutais pas. Je t’ai toujours aimé William saches le.

Ma mère me dit qu'elle était pas déçus car j'avais été heureux car au contraire ces ce qui ravivais la flamme en elle , je sourit . Ma mère ajouta que même si elle ne pouvais pas me serrer dans ces bras , elle avais fais toujours le maximum pour moi-même quand je m'en doutais pas et qu'elle m'avais toujours aimer , je sourit et dit :



-Je te croit maman



Je resta toujours dans ces bras , j'était vraiment bien comme ça .Je regardais l'océan et dit :



-Tu fais quoi exactement en maximum pour moi maman ? Sans que je m'en aperçoive

Je souris tendrement quand il me demanda qu’est ce que j’avais pus faire pour lui. Tellement de petites intentions se bousculaient dans ma tête. Comme la fois où il a faillit tomber à vélo et que je l’ai empêché, ou la fois ou il avait eu mal en tombant des escaliers, j’avais tout fait en sorte pour qu’il ait le moins de douleur possible. Mais je ne pouvais pas toujours le faire ! Il devait ressentir aussi les sensations d’humanité, le privé de toute douleur de toute adrénaline n’était pas un bon équilibre pour lui.

-Hum… Tu te souviens la fois où tu étais tombé des escaliers et que ton genou saignait ? Hey bien j’ai tout fais en œuvre pour que tu ais le moins de douleur possible. Ou la fois où tu n’aimais pas les épinards et que quand ton assiette s’est transformé en assiette de frite à la cantine ?

Au souvenir des épinards à la cantine , j'émis un frisson , j'avais toujours eu horreur de ça et j'avais été heureux quand mon assieste c'était remplis de frites à la place . Je regarda ma mère et sourit puis dit :



-Je me souviens de cet scène mais copain d'école était stupéfaits à ce moment-là



Je sourit et dit en grimaçant :



-Qu'est-ce que je peux détester les epinards .

Je ris lorsque je me remémorai ce souvenir.

-Oui j’avais remarqué. Tu vois avec toute ces petites choses j’ai essayé de te rendre la vie plus agréable. Je sais que ça ne remplace pas la présence du mère, mais c’est tout ce que je pouvais faire. Et j’en suis désolé.

Je le pris dans mes bras et posa ma tête sur son épaule, il avait tellement grandit vite…

Ma mère me dit qu'avec cet petite chose , elle avais essayés de me rendre la vie plus agréable , je lui sourit . Elle ajouta ensuite qu'elle savais que sa ne remplaçais pas une mère mais que c'était tout ce qu'elle avais pus faire et qu'elle était désolé :



-Je ne t'en veux pas maman



Ma mère me pris dans ces bras puis posa sa tête sur mon épaule , je sourit et dit :



-Tu ai quand même contente d'avoir un petit-fils ou une petite-fille ?





Je lui sourit et dit :



-Bizarrement j'aimerais une fille et non un garçon même si je l'aimerais pareille ces juste que je suis plus imaginitif quand ces les filles pour les noms

William m’excusa de mon absence en tant que mère, et bizarrement je me sentais soulagé comme si un poids m’avait été enlevé. Ce soulagement me fit un bien fou, comme si depuis tant d’année j’avais cherché le pardon de mon fils et que miraculeusement je l’avais obtenue. Cela faisait plus ou moins 20 ans que je l’attendais.

-Merci chuchotais-je.

Puis il me demanda que si malgré la colère que j’avais éprouvée lors de la l’annonce de l’arrivé de ma petite fille j’étais tout de même heureuse. A vrai dire si j’avais réagit ainsi, c’est parce que j’avais ressentis une sorte de trahison et de frustration. En effet j’étais vexé d’être l’une des dernières au courant mais aussi parce que je voyais mon fils grandir et s’épanouir alors que pour moi il était resté enfant.

-William, ce petit bout de chou et la chose la plus fabuleuse qu’il puisse m’arriver en tant que « mamie ». Je suis très heureuse pour toi et Nina. Si j’ai réagis ainsi c’est parce que j’étais vexé de l’avoir apprise en dernière, vexé que tu puisses avoir peur de ma réaction à ce point, vexé que tu grandisses, que tu deviennes un homme et père à la fois. Cette petite fille je vais te la chouchouter comme il se le doit ! Je vais te la monopolisée, saches le. Et tu n’as pas intérêt de me la prendre ! Je vais être une vrai Mamie gâteau comme ils le disent sur terre. J’ai seulement deux requête à te faire mon poussin.

Je ris a tous ce que me dit ma mère car en effet , elle allais devenir une vraie Mamie gâteau avec sa petite fille puis ma mère me dit qu'elle avais juste deux requête a me faire :

-Ah lequel ?

Je sourit a ma mère et dit :

-Mais t'inquiète pas je compte pas de l'enlever par contre si ont veux sortir avec Nina rien que tout les deux ont peux te la laisser ? ou a Aphrodite

Je pris mon regard sérieux et pris la main et montrai mon pouce :

-Je ne veux pas qu’elle m’appelle « mémé » mais Mamie, je suis bien trop jeune pour cela et la deuxième chose comme tu l’as dis, je veux l’avoir le plus souvent possible. Donc si vous sortez vous savez à qui il faut la donner, Aphrodite sera surement débordait avec tous ses amants et ce n’est peut être pas le bon exemple à montrer à une petite fille.

Je ris, de ma bêtise.

Ma mère me dit que première elle voulais qu'elle l'appelle Mamie et non "mémé" car elle était trop jeune , je me retint de rire car elle avais plusieur millier d'année . Puis elle me dit qu'elle voulais l'avoir le plus souvent possible , je sourit et dit :

-Pas de soucis de ce côté là mais j'en parlerais avec Nina avant

Je sourit